L2: Nantes/Libourne

Les SL on fait le dép'?

Si oui, des photos?

Pedr' a écrit:

présence d'environ combien de gars de Libourne ?

Environ 130-140 libournais en parcage

Ced a écrit:

Environ 130-140 libournais en parcage

merci bien

savais pas ou poster ça...

Citation :

Plan social au FCN : des supporters solidaires du personnel
Photo Denis Bourdeau
Quelques supporters du FCN ont déployé, hier matin devant le palais de justice, une banderole « Salariés : licenciés, supporters : solidaires ». : Photo Denis Bourdeau
Sur le terrain, tout va bien pour le FCN, en route vers la remontée en Ligue 1. En coulisses, le climat est beaucoup plus tendu. La raison ? Une vingtaine de postes administratifs (1) sont menacés dans le cadre d'un plan social, révélé en décembre dernier. Un imbroglio juridique a stoppé net la première procédure. Waldemar Kita, le président du FC Nantes, a vu rouge en découvrant les honoraires de l'expert-comptable sollicité par le comité d'entreprise. Le « boss » a contesté le montant de la facture, de l'ordre de 15 000 €. Du coup, l'expert n'a pas remis son rapport, gelant de fait la procédure.

La bataille judiciaire n'est pas terminée. Une nouvelle audience avait d'ailleurs lieu, hier, au tribunal de grande instance de Nantes sur fond d'indemnités à régler. Le club a en effet assigné l'expert-comptable et le comité d'entreprise devant le juge des référés ! Une décision est attendue jeudi prochain.

« Des choix iniques »

À l'extérieur du palais de justice, derrière une banderole portant l'inscription « Salariés : licenciés, supporters : solidaires », une petite dizaine de « supporters indépendants » sont venus exprimer leur soutien au personnel.

« Les salariés susceptibles d'être visés par le plan social sont victimes de la mauvaise gestion sportive et financière de la direction précédente, estiment Matthieu et Florian, des habitués de la tribune Loire. Et aujourd'hui, les choix et la manière de procéder de M. Kita sont iniques. Comment justifier, en Ligue 2, certaines dépenses d'images (bus, blason, fauteuils sur les bancs de touche...) quand, dans le même temps, le club veut licencier 23 personnes ? Comment justifier 11 postes de directeur quand on entend supprimer autant de postes administratifs (et) quand, de surcroît, M. Kita embauche M. Praud à 15 000 € mensuels et propulse son fils, tout juste sorti de l'école, au poste de directeur ? ».

Nouvelle procédure

Les supporters ont l'intention de mener d'autres actions. En attendant, une nouvelle procédure est enclenchée. Le scénario est identique au premier, à la différence près qu'entre-temps quatre départs à l'amiable ont été négociés fin 2007. « Le FCN a redémarré un nouveau plan de sauvegarde de l'emploi pour raison économique », confirme Me Pascale Journaud, qui défend les salariés. Comme il est de coutume dans ce genre de dossier, le comité d'entreprise a demandé un audit. Et, cette fois, la rémunération de l'expert - à la charge du FCN - ne semble pas poser de problème. Une réunion entre les représentants du personnel et la direction du club est prévue début mars. En attendant, les dirigeants ont décrété le silence radio. « Cette procédure réclame la plus grande confidentialité », se borne à déclarer Pascal Praud, le directeur délégué en charge de la communication et du marketing. Les salariés, eux, sont tenus au secret. « La situation est délicate, reconnaît l'un d'entre eux du bout des lèvres. L'inquiétude est forte. On espère que l'impact sera plus limité que celui dont on entend parler. À plus forte raison si le club retrouve la Ligue 1... ».

Denis Bourdeau

(1) Sur un total de 75 postes.

source: http://www.presseocean.fr/Plan-social-au-FCN-des-supporters-solidaires-du-personnel-/re/fcnantes_detail/actu_12981-575029------_actu.html

Citation :

Plan social au FCN : des supporters solidaires du personnel
Photo Denis Bourdeau
Pascal Praud, le directeur délégué en charge de la communication et du marketing.Denis Bourdeau

Oh putain, j'savais pas!
Si ses compétences en communication valent celles en journalisme, vous êtes dans la merde.

Il y avait déjà eu une banderole là-dessus à Guimgamp. C'était vers la période des fêtes et elle disait : "Sous le sapin, 23 licenciés".