Le Mouvement Ultra en Italie

En vrai les gazié comment vous vous prenez la tete ! si les mec des groupe d'italie passe par la , ils doivent rire

La Curva Nord Bergamo a pu rentrer bâches et drapeaux SANS demander l'autorisation lors du premier match dimanche passée.

Les Bergamaschi ne savent pas si cette décision sera valable pour toute la saison:





Le comuniqué dit que l'année passée le virage est resté vide de couleur, que les interdictions à bâcher n'avait rien à voir avec la violence et qu'elles violaient les libertés personelles de chaque individu et que par surprise ils ont eu cette bonne nouvelle.

les 2 Curve de Napoli fermées pendant 2 mois...

stoned a écrit:

La Curva Nord Bergamo a pu rentrer bâches et drapeaux SANS demander l'autorisation lors du premier match dimanche passée.

Les Bergamaschi ne savent pas si cette décision sera valable pour toute la saison.

L'article date du vendredi 29 août et en fait, le préfet a décidé de lâcher du lest vis à vis de cette loi pour la Curva Nord de Bergame.

Citation :

Il questore: daremo fiducia
ai tifosi atalantini
Un incontro con tutte le forze dell'ordine per fare il punto sulla sicurezza in previsione dell'inizio del campionato di calcio. Il questore di Bergamo Dario Rotondi non vuole creare alcun allarmismo nè clima di terrore per l'avvio della Serie A. «Anche a livello nazionale le notizie sono incoraggianti - ha commentato Rotondi - e analizzando la situazione delle tifoserie il clima è sereno» tanto che per i due match più a rischio - Roma contro Napoli e Fiorentina contro Juventus - non sarebbero stati presi provvedimenti speciali.
E Bergamo segue questo filone di serenità: «L'intenzione è quella di dare un'apertura di credito ai tifosi - continua il questore -: troppa pressione genere ansia e non vogliamo creare tensioni facendo in modo che le forze dell'ordine allo stadio siano una presenza discreta».
Da qui la scelta di ridurre il personale che sarà in azione domenica 31 agosto allo stadio per Atalanta-Siena, con anche una smilitarizzazione della zona limitrofa a viale Giulio Cesare. Sarà anche semplificata la proceduta di autorizzazione degli striscioni che potranno essere esposti durante i match: «Non dovranno essere offensivi - spiega Rotondi - e non dovranno portare elogi a persone diffidate». Con un commento specifico sulla tifoseria bergamasca: «È turbolenta, ma non è politicizzata e quindi non ha alcun interesse a cercare lo scontro - conclude Rotondi -. La partita di domenica contro il Siena sarà un bando ci prova: se i tifosi faranno i tifosi non ci saranno problemi».

Toujours une division entre la curva nord et la curva sud de Brescia. Le Commando Ultrà Curva Sud se serait dissout!

MAD77 a écrit:

les 2 Curve de Napoli fermées pendant 2 mois...

A noter le réaction du président du Napoli, Aurelio De Laurentiis qui a dit que les criminels avaient gagnés, l'écrasante majorité des vraies supporters sont punis.

L'equipe.fr reprend l'information

Citation :

8/09/2008 15:25
Foot - ITA - Naples - Les virages fermés

Les virages A et B du stade San Paolo de Naples, où se concentrent les ultras du club napolitain, seront fermés jusqu'au 31 octobre, a décidé lundi la justice sportive suite aux incidents survenus lors du match AS Rome-Naples du 31 août. Le club a également été condamné à payer une amende de 10 000 euros. Les juges ont motivé leur décision en pointant du doigt le comportement des plus radicaux des ultras napolitains lors de la rencontre au stade Olympique de Rome. Ceux-ci avaient notamment lancé divers objets (bouteilles, pièces de monnaie, pétards) en direction des stewards et des supporters romains.

Avant la rencontre déjà, de violents incidents s'étaient notamment traduits par le saccage d'un train. Un millier de supporters avaient pris d'assaut le convoi à la gare de Naples, contraignant les passagers à descendre. Les voitures avaient été vandalisées, les vitres cassées et des toilettes et des banquettes détruites, pour des dégâts estimés à 500 000 euros. Après la rencontre, des incidents avaient également éclaté à la gare centrale de Rome, tandis que plusieurs autobus de la municipalité mis à disposition pour transporter les ultras avaient été saccagés.

La semaine passée, le ministre de l'Intérieur Roberto Maroni avait annoncé que les tifosi de Naples seraient interdits de déplacement durant toute la durée du championnat en cours. (AFP)

encore une fois les autorités font encore une fois preuve d'une grande compétence et d'une non moins grande intelligence...

Stop ai tifosi ospiti per le partite Napoli-Fiorentina, Fiorentina-Bologna e Inter-Catania.

http://www.fototifo.it/evento.php?e=4792
Fiore/gobbi

http://www.fototifo.it/evento.php?e=4792
Fiore/gobbi

cass76 a écrit:

Stop ai tifosi ospiti per le partite Napoli-Fiorentina, Fiorentina-Bologna e Inter-Catania.

Uniquement pour les Viola finalement. Les Catanesi seront bien à san siro samedi.

Steward-Caro a écrit:

Depuis le renforcement de ses pouvoirs en 2005 et le décès du carabinier Filippo Raciti 2 ans plus tard, l’Observatoire national sur les manifestations sportives avait pris soin d’interdire un maximum de déplacements de supporters visiteurs lors des matchs à risques. A ce titre, les fans napolitains étaient très souvent privés de voyages (près de la moitié des rencontres en 2007-2008). Un Roma-Napoli avec parcage ouvert semblait être un lointain souvenir et présenter de tels risques que jamais les autorités ne l’autoriseraient.
Pourtant, à l’orée de la saison 2008-2009, l’Observatoire avait assoupli ses positions et n’avait pas pris de mesures pour la 1ère journée pour empêcher les déplacements des Napolitains à Rome ou des Turinois de la Juventus à Florence. Mais cela avait aussi valeur de test et l’institution avait bien annoncé « tolérance zéro » si quoi que ce soit se produisait.
Les premiers incidents ont débuté à la Gare centrale de Naples. A l’origine, les services ferroviaires voulaient faire voyager les supporters sur les différents trains de la matinée (un par heure), en ajoutant des wagons à chaque fois. Cependant, les 1 500 supporters, dont l’essentiel du contingent Ultra’, voulaient, eux, monter tous ensemble dans le même train. D’où les tensions, surtout que les tifosi n’avaient pas forcément tous de billets… Les forces de l’ordre ont finalement autorisé le train à partir pour Rome, afin d’éviter de déclencher une émeute dans une gare bondée, en plein week-end de retour de vacances. Mais 300 passagers déjà installés avant l’arrivée des tifosi ont dû descendre.
Dans les rames, durant le trajet, de nombreuses dégradations ont été commises. Les dégâts sont estimés par la compagnie nationale Trenitalia à près de 500 000 euro ! A l’arrivée à la Gare de Termini, les Ultras parthénopéens, débarquant au cri de « Bruciamo la Capitale ! » (« Brûlons la Capitale ! ») se sont de nouveau frotté aux carabiniers, avant de prendre dans des bus de ville la direction du Stade Olympique (20 000 euro de dégâts supplémentaires dans les véhicules). Là-bas, quelques affrontements ont eu lieu, notamment parce que l’entrée en tribune a longtemps été bloquée, alors que le match avait commencé, et un Napolitain aurait été légèrement blessé d’un coup de couteau.
Après ce dimanche chaotique, la polémique a fait rage sur la violence des hooligans, multipliée par le fait qu’il s’agisse des Napolitains, qu’on relie toujours à la Mafia, même si on se demande bien quel intérêt la Camorra trouverait à fomenter une telle agitation.
Le Ministère de l’Intérieur italien veut désormais interdire tous les matchs hors de leurs terres aux tifosi napolitains. Et la rencontre Naples-Florence se disputera ce week-end à huis-clos. De plus, les interdictions de déplacement pour les tifosi vont reprendre généralement de plus belle, avec par exemple défense aux Milanais de se rendre à Marassi pour le toujours explosif Genoa-Milan AC. Par ailleurs, les 5 tifosi interpellés à l’occasion de la rencontre (3 Romains et 2 Napolitains) ont été placés sous mandat de dépôt.
Sans crier au complot pour renforcer encore le dispositif répressif, on peut quand même s’interroger sur la responsabilité des autorités italiennes, qui ont imaginé que les milliers de Napolitains arriveraient à Rome par leurs propres moyens. Dans la mesure où Trenitalia avait refusé d’organiser de véritables trains spéciaux et que le voyage en voitures ou en bus était bien trop risqué et déconseillé par les groupes de supporters, il était évident que les trains réguliers seraient pris d’assaut, sans tenir compte des contingents de billets alloués sur chaque rame. Face à la tifoseria la plus turbulente de la Botte, il est tout de même curieux que les autorités n’aient pas imaginé une solution plus simple pour et mis les moyens adéquats afin de sécuriser un déplacement si chaud, dès lors qu’elles l’avaient autorisé.

Le minimum quand on balance un article comme ça en vrac, c'est de citer la source.

http://www.culturetribunes.fr/2008/09/05/gomorra-a-roma/

Article par François Dumas

Culture Tribunes a écrit:

Steward-Caro a écrit:

Depuis le renforcement de ses pouvoirs en 2005 et le décès du carabinier Filippo Raciti 2 ans plus tard, l’Observatoire national sur les manifestations sportives avait pris soin d’interdire un maximum de déplacements de supporters visiteurs lors des matchs à risques. A ce titre, les fans napolitains étaient très souvent privés de voyages (près de la moitié des rencontres en 2007-2008). Un Roma-Napoli avec parcage ouvert semblait être un lointain souvenir et présenter de tels risques que jamais les autorités ne l’autoriseraient.
Pourtant, à l’orée de la saison 2008-2009, l’Observatoire avait assoupli ses positions et n’avait pas pris de mesures pour la 1ère journée pour empêcher les déplacements des Napolitains à Rome ou des Turinois de la Juventus à Florence. Mais cela avait aussi valeur de test et l’institution avait bien annoncé « tolérance zéro » si quoi que ce soit se produisait.
Les premiers incidents ont débuté à la Gare centrale de Naples. A l’origine, les services ferroviaires voulaient faire voyager les supporters sur les différents trains de la matinée (un par heure), en ajoutant des wagons à chaque fois. Cependant, les 1 500 supporters, dont l’essentiel du contingent Ultra’, voulaient, eux, monter tous ensemble dans le même train. D’où les tensions, surtout que les tifosi n’avaient pas forcément tous de billets… Les forces de l’ordre ont finalement autorisé le train à partir pour Rome, afin d’éviter de déclencher une émeute dans une gare bondée, en plein week-end de retour de vacances. Mais 300 passagers déjà installés avant l’arrivée des tifosi ont dû descendre.
Dans les rames, durant le trajet, de nombreuses dégradations ont été commises. Les dégâts sont estimés par la compagnie nationale Trenitalia à près de 500 000 euro ! A l’arrivée à la Gare de Termini, les Ultras parthénopéens, débarquant au cri de « Bruciamo la Capitale ! » (« Brûlons la Capitale ! ») se sont de nouveau frotté aux carabiniers, avant de prendre dans des bus de ville la direction du Stade Olympique (20 000 euro de dégâts supplémentaires dans les véhicules). Là-bas, quelques affrontements ont eu lieu, notamment parce que l’entrée en tribune a longtemps été bloquée, alors que le match avait commencé, et un Napolitain aurait été légèrement blessé d’un coup de couteau.
Après ce dimanche chaotique, la polémique a fait rage sur la violence des hooligans, multipliée par le fait qu’il s’agisse des Napolitains, qu’on relie toujours à la Mafia, même si on se demande bien quel intérêt la Camorra trouverait à fomenter une telle agitation.
Le Ministère de l’Intérieur italien veut désormais interdire tous les matchs hors de leurs terres aux tifosi napolitains. Et la rencontre Naples-Florence se disputera ce week-end à huis-clos. De plus, les interdictions de déplacement pour les tifosi vont reprendre généralement de plus belle, avec par exemple défense aux Milanais de se rendre à Marassi pour le toujours explosif Genoa-Milan AC. Par ailleurs, les 5 tifosi interpellés à l’occasion de la rencontre (3 Romains et 2 Napolitains) ont été placés sous mandat de dépôt.
Sans crier au complot pour renforcer encore le dispositif répressif, on peut quand même s’interroger sur la responsabilité des autorités italiennes, qui ont imaginé que les milliers de Napolitains arriveraient à Rome par leurs propres moyens. Dans la mesure où Trenitalia avait refusé d’organiser de véritables trains spéciaux et que le voyage en voitures ou en bus était bien trop risqué et déconseillé par les groupes de supporters, il était évident que les trains réguliers seraient pris d’assaut, sans tenir compte des contingents de billets alloués sur chaque rame. Face à la tifoseria la plus turbulente de la Botte, il est tout de même curieux que les autorités n’aient pas imaginé une solution plus simple pour et mis les moyens adéquats afin de sécuriser un déplacement si chaud, dès lors qu’elles l’avaient autorisé.

Le minimum quand on balance un article comme ça en vrac, c'est de citer la source.

http://www.culturetribunes.fr/2008/09/05/gomorra-a-roma/

Article par François Dumas

françois dumas qui doit avoir de bons contacts dans les deux tifoserie
merci de préciser qu'en plus on a péter les bus de la ville.... Comme l'a dit un leader fedayn, quand on met 120 bonhommes dans un bus faut pas s'etonner que les amortisseurs ramassent

Toone a écrit:

cass76 a écrit:

Stop ai tifosi ospiti per le partite Napoli-Fiorentina, Fiorentina-Bologna e Inter-Catania.

Uniquement pour les Viola finalement. Les Catanesi seront bien à san siro samedi.

tout comme les pisani à livourne. Pour l'instant.

"Disagi e incidenti provocati intenzionalmente?"

Il caporedattore del "Ballesterer FM Radio" Reinhard Krennhuber era in viaggio con gli ultras del Napoli verso Roma e concede allo standard.at un'intervista raccontando di scene assurde. Un'altra versione dei fatti.


I media raccontano di come atti di violenza all'inizio del campionato di serie A abbiano di nuovo danneggiato l’immagine del calcio italiano.
Da fonti di agenzia di stampa si apprende di come 1500 Ultras Napoletani abbiano assaltato un treno alla stazione di Napoli costringendo a scendere 300 passeggeri.
Inoltre avrebbero ferito quattro controllori di Trenitalia e danneggiato e saccheggiato le carrozze.
All'arrivo a Roma Termini avrebbero acceso bombe carta e usato gas lacrimogeni mentre erano scortati dalle forze dell’ordine ai bus verso lo stadio.
Trenitalia parla di danni attorno ai 500.000 Euro.

Reinhard Krennhuber, caporedattore della rivista calcistica "Ballesterer fm", accompagnato dal collega Jakob Rosenberg, ha viaggiato insieme agli Ultras Napoletani in trasferta verso Roma e prende posizione in un' intervista al derStandard.at sui fatti accaduti.
"Ballesterer fm" ne parlerà in un articolo che uscirà il 7 ottobre sulla crisi nel calcio italiano, raccontando in particolare i fatti della partita Roma – Napoli.

derStandard.at:
Lei e stato un testimone oculare dei fatti successi alla stazione di Napoli, ci racconta cosa in realtà è successo?

Krennhuber:
Innanzitutto non si può assolutamente parlare di Ultras Napoletani che abbiano minacciato e fatto scendere dal treno 300 passeggeri, poi degli attacchi ai controllori di Trenitalia non ne abbiamo preso atto.
Il treno sarebbe dovuto partire alle 09:24. Poco dopo le 11 i dipendenti di Trenitalia sono passati sui treni per consigliare ai passeggeri non tifosi del napoli e senza intenzione di andare a Roma di lasciare il treno e di prenderne un altro, cosa che hanno fatto tutti.
Alla fine si parte alle 12:30 in un treno strapieno e sovraffollato.
All’arrivo a Roma la partita era già iniziata; siamo entrati all' Olimpico al 52° minuto di gioco, una vergogna pensando che la maggior parte degli ultras aveva pagato sia il biglietto del treno che il biglietto di entrata all'Olimpico per 28 Euro.
Abbiamo assistito alla demolizione dei bagni ma non si arriverebbe comunque mai alla cifra che Trenitalia ha comunicato ufficialmente, e poi qualcuno mi dica cosa ci sarebbe da saccheggiare in un treno...il tutto si sottrae alla mia immaginazione, come la notizia che gli ultras avrebbero usato gas lacrimogeni alla stazione Termini.

derStandard.at:
C'è statao qualche momento in cui avete avuto paura che potesse succedere qualcosa?

Krennhuber:
Non abbiamo avute paure create dagli ultras napoletani, non hanno attaccato le forze dell’ordine nè alla stazione nè allo stadio, anche perchè sapevano cosa ci fosse in gioco.
L’unico momento di tensione è stato quando dopo la partita sono entrate le forze dell’ordine nei bus per picchiare a caso chiunque si trovasse sulla loro via, il tutto con la scusa che queste persone avrebbero ostacolato la partenza dei bus.
La cosa più assurda e che questi bus sono partiti poi dopo un'ora e mezza!
Ci hanno trattenuto dentro lo stadio per 4 ore senza la possibilità di acquistare acqua o cibo. La promessa di ricevere acqua non è mai stata mantenuta!

derStandard.at:
Il Ministero degli Interni italiano vorrebbe emettere un divieto di trasferta ai tifosi napoletani e vorrebbe far giocare a porte chiuse il Napoli sanzionando anche la società con una multa.
Lei pensa che questi provvedimenti servano a qualcosa?

Krennhuber:
No, trovo il divieto alle trasferte e le porte chiuse un provvedimento molto esagerato.
La maggior parte dei tifosi napoletani non ha commesso nessun reato durante la trasferta.
Le accuse che gli incidenti siano stati pianificati e orchestrati dai fans o addirittura dalla camorra mi sembrano totalmente assurde, un'invenzione.
Al contrario non riesco a smettere di pensare che il tutto, cioè il ritardo e diversi maltrattamenti, siano stati studiati di proposito come per avere una reazione da parte dei tifosi per provocare una reazione ed emanare poi i provvedimenti che adesso vogliono far passare.

derStandard.at:
Il capo della polizia Antonio Manganelli parla di risultati positivi ottenuti dallo Stato contro la violenza negli stadi. Afferma che dopo la morte del ispettore Raciti a Catania nel 2007 ci sono meno incidenti e scontri.
Racconta poi di come la sicurezza negli stadi sia stata migliorata e come questo abbia di nuovo attirato le famiglie con i bambini a frequentare di nuovo lo stadio.
Sono fatti reali o solo belle parole?

Krennhuber:
Gli standard di sicurezza sono stati sicuramente migliorati ma si tratta solamente di qualche cancello e qualche tornello in più all’entrata.
Gli stadi italiani sono ancora nelle stesse desolanti condizioni di prima, non è cambiato niente all’interno.
A parte questo lo Stato italiano usa solamente la via della repressione, non hanno alcuna intenzione di spendere soldi o lavorare insieme ai tifosi per un programma con essi.
Poi trovo la deposizione di Manganelli molto cinica, pensando che nel novembre 2007 veniva ucciso Gabriele Sandri da un colpo di pistola esploso da un agente della polizia.
Inoltre non riesco a vedere l'incremento delle visite allo stadio da parte di famiglie.
A Roma nel settore ospiti ho notato tra le 3600 persone due che erano sopra i 50 anni e cinque o sei donne, cosa che non mi stupisce affatto visto il trattamento a volte disumano che subiscono i tifosi.

derStandard.at:
Lei a che conclusioni arriva dopo il weekend passato?

Krennhuber:
In futuro crederò ancora meno di prima alle notizie di scontri provenienti dall’Italia.
C'è una discrepanza enorme tra quello che abbiamo vissuto quel giorno e cosa hanno riportato i media il giorno seguente.
Per tutta la giornata non abbiamo incontrato un collega giornalista.
I media non hanno fatto alcuna ricerca sul posto, si fanno dare i servizi già pronti dall'ufficio stampa delle autorità.
E in quei servizi la versione dei tifosi non viene presa in considerazione o solo minimamente.
Raiuno è l’unica emittente che ha fatto parlare anche tifosi e gente comune, e non solo politici e vari esponenti delle autorità su fatti.
E quella gente comune e i tifosi raccontano analoghe storie come la nostra vissuta lo scorso weekend."

(Thomas Hirner, derStandard.at, 5. September 2008)


je posterai une traduc' demain :)

combien de supp de l'inter a athenes la semaine prochaine pour pao inter ou toute les places du stade olympique sont partie en moins de 5 heures.

Tu ne veux pas non plus qu'ils te disent l'heure à laquelle ils ont prévu d'arriver et le lieu qu'ils ont décidés de squatter.

Toone a écrit:

"Disagi e incidenti provocati intenzionalmente?"

Il caporedattore del "Ballesterer FM Radio" Reinhard Krennhuber era in viaggio con gli ultras del Napoli verso Roma e concede allo standard.at un'intervista raccontando di scene assurde. Un'altra versione dei fatti.


I media raccontano di come atti di violenza all'inizio del campionato di serie A abbiano di nuovo danneggiato l’immagine del calcio italiano.
Da fonti di agenzia di stampa si apprende di come 1500 Ultras Napoletani abbiano assaltato un treno alla stazione di Napoli costringendo a scendere 300 passeggeri.
Inoltre avrebbero ferito quattro controllori di Trenitalia e danneggiato e saccheggiato le carrozze.
All'arrivo a Roma Termini avrebbero acceso bombe carta e usato gas lacrimogeni mentre erano scortati dalle forze dell’ordine ai bus verso lo stadio.
Trenitalia parla di danni attorno ai 500.000 Euro.

Reinhard Krennhuber, caporedattore della rivista calcistica "Ballesterer fm", accompagnato dal collega Jakob Rosenberg, ha viaggiato insieme agli Ultras Napoletani in trasferta verso Roma e prende posizione in un' intervista al derStandard.at sui fatti accaduti.
"Ballesterer fm" ne parlerà in un articolo che uscirà il 7 ottobre sulla crisi nel calcio italiano, raccontando in particolare i fatti della partita Roma – Napoli.

derStandard.at:
Lei e stato un testimone oculare dei fatti successi alla stazione di Napoli, ci racconta cosa in realtà è successo?

Krennhuber:
Innanzitutto non si può assolutamente parlare di Ultras Napoletani che abbiano minacciato e fatto scendere dal treno 300 passeggeri, poi degli attacchi ai controllori di Trenitalia non ne abbiamo preso atto.
Il treno sarebbe dovuto partire alle 09:24. Poco dopo le 11 i dipendenti di Trenitalia sono passati sui treni per consigliare ai passeggeri non tifosi del napoli e senza intenzione di andare a Roma di lasciare il treno e di prenderne un altro, cosa che hanno fatto tutti.
Alla fine si parte alle 12:30 in un treno strapieno e sovraffollato.
All’arrivo a Roma la partita era già iniziata; siamo entrati all' Olimpico al 52° minuto di gioco, una vergogna pensando che la maggior parte degli ultras aveva pagato sia il biglietto del treno che il biglietto di entrata all'Olimpico per 28 Euro.
Abbiamo assistito alla demolizione dei bagni ma non si arriverebbe comunque mai alla cifra che Trenitalia ha comunicato ufficialmente, e poi qualcuno mi dica cosa ci sarebbe da saccheggiare in un treno...il tutto si sottrae alla mia immaginazione, come la notizia che gli ultras avrebbero usato gas lacrimogeni alla stazione Termini.

derStandard.at:
C'è statao qualche momento in cui avete avuto paura che potesse succedere qualcosa?

Krennhuber:
Non abbiamo avute paure create dagli ultras napoletani, non hanno attaccato le forze dell’ordine nè alla stazione nè allo stadio, anche perchè sapevano cosa ci fosse in gioco.
L’unico momento di tensione è stato quando dopo la partita sono entrate le forze dell’ordine nei bus per picchiare a caso chiunque si trovasse sulla loro via, il tutto con la scusa che queste persone avrebbero ostacolato la partenza dei bus.
La cosa più assurda e che questi bus sono partiti poi dopo un'ora e mezza!
Ci hanno trattenuto dentro lo stadio per 4 ore senza la possibilità di acquistare acqua o cibo. La promessa di ricevere acqua non è mai stata mantenuta!

derStandard.at:
Il Ministero degli Interni italiano vorrebbe emettere un divieto di trasferta ai tifosi napoletani e vorrebbe far giocare a porte chiuse il Napoli sanzionando anche la società con una multa.
Lei pensa che questi provvedimenti servano a qualcosa?

Krennhuber:
No, trovo il divieto alle trasferte e le porte chiuse un provvedimento molto esagerato.
La maggior parte dei tifosi napoletani non ha commesso nessun reato durante la trasferta.
Le accuse che gli incidenti siano stati pianificati e orchestrati dai fans o addirittura dalla camorra mi sembrano totalmente assurde, un'invenzione.
Al contrario non riesco a smettere di pensare che il tutto, cioè il ritardo e diversi maltrattamenti, siano stati studiati di proposito come per avere una reazione da parte dei tifosi per provocare una reazione ed emanare poi i provvedimenti che adesso vogliono far passare.

derStandard.at:
Il capo della polizia Antonio Manganelli parla di risultati positivi ottenuti dallo Stato contro la violenza negli stadi. Afferma che dopo la morte del ispettore Raciti a Catania nel 2007 ci sono meno incidenti e scontri.
Racconta poi di come la sicurezza negli stadi sia stata migliorata e come questo abbia di nuovo attirato le famiglie con i bambini a frequentare di nuovo lo stadio.
Sono fatti reali o solo belle parole?

Krennhuber:
Gli standard di sicurezza sono stati sicuramente migliorati ma si tratta solamente di qualche cancello e qualche tornello in più all’entrata.
Gli stadi italiani sono ancora nelle stesse desolanti condizioni di prima, non è cambiato niente all’interno.
A parte questo lo Stato italiano usa solamente la via della repressione, non hanno alcuna intenzione di spendere soldi o lavorare insieme ai tifosi per un programma con essi.
Poi trovo la deposizione di Manganelli molto cinica, pensando che nel novembre 2007 veniva ucciso Gabriele Sandri da un colpo di pistola esploso da un agente della polizia.
Inoltre non riesco a vedere l'incremento delle visite allo stadio da parte di famiglie.
A Roma nel settore ospiti ho notato tra le 3600 persone due che erano sopra i 50 anni e cinque o sei donne, cosa che non mi stupisce affatto visto il trattamento a volte disumano che subiscono i tifosi.

derStandard.at:
Lei a che conclusioni arriva dopo il weekend passato?

Krennhuber:
In futuro crederò ancora meno di prima alle notizie di scontri provenienti dall’Italia.
C'è una discrepanza enorme tra quello che abbiamo vissuto quel giorno e cosa hanno riportato i media il giorno seguente.
Per tutta la giornata non abbiamo incontrato un collega giornalista.
I media non hanno fatto alcuna ricerca sul posto, si fanno dare i servizi già pronti dall'ufficio stampa delle autorità.
E in quei servizi la versione dei tifosi non viene presa in considerazione o solo minimamente.
Raiuno è l’unica emittente che ha fatto parlare anche tifosi e gente comune, e non solo politici e vari esponenti delle autorità su fatti.
E quella gente comune e i tifosi raccontano analoghe storie come la nostra vissuta lo scorso weekend."

(Thomas Hirner, derStandard.at, 5. September 2008)


je posterai une traduc' demain :)

Cet article me confirme mes suspiscions sur le fait que cela aurait peut être été programmé pour faire pété les plombs au ultras napolitains afin de faire passer d'autres lois de répression...mais là ça m'inquiéte vraiment. Le sort des "ultras" en Italie ne va pas aller en s'améliorant si ce genre de "piège" commence à devenir monnaie courante.

En tout cas courage aux napolitains.... et à plus grande échelle à tous les groupes ultras car ça doit pas être évident.....


PS: je suis tombé hier, par hasard, sur un reportage TV où les journalistes interviewaient les dirigeants des groupes napolitains....ils ne savent plus quoi faire, ils se sentent rouler, abuser alors qu'ils avaient TOUT mis en place pour que ce dep soit sans problème.... COURAGE A EUX....

salut;

apparemment c'est honneur a Napoli pour ces supporters; a l'inter bcp aussi vu ke kelke un du forum sont interisti; mais quand est il des rossoneri???

Je ne lis jamais rien sur eux ici; pourtant ils ont un gros public et San Siro dévoile de très bonne ambiances.

Après ok; nivo violences je pense ke ce sont des ultras relativement calmes; on entend pas très souvent parler d'eux dans des conflits (du moins pour ma part) mais nivo ambiance; chants et corré ils sont très présents ^;

Sinon quelle est la ou plutot quelles sont les meilleures tifoserie d'italie???

En france par ex; c'est paris, marseille; sainté; peut etre lens pour le public mais en italie???

La plupart des équipes ont un gros public la bas; donc j'aimerais votre avis ^

Sinon quelle est la ou plutot quelles sont les meilleures tifoserie d'italie???


Tu ne peux, je pense, pas poser la question comme cela. Comme tu l'as très justement dit il y a beaucoup de gros public en Italie, qui ne sont pas forcément ceux de la Serie A.

Après, les groupes ayant encore un semblant de mentalité "ultras" à l'ancienne disons sont, pour moi: les curve Bergamo, Cagliari et très certainement celle de Cosenza.

Ensuite on pourrait faire une catégorie vocal où là les napolitains et les romains sont assez impressionnants. Mais également Barletta et Monopoli pour les divisions qu'ils représentent.

Puis niveau tifo, effectivement les milanais (AC hein:hinhin: ) ont fait d'assez bons et beaux tifos.

En même temps il existe tellement de groupes et de virage que je ne connait pas en Italie que j'en sais rien....

Ta question est trop complexe pour avoir une seule réponse.

mafioso69 a écrit:

Tu ne veux pas non plus qu'ils te disent l'heure à laquelle ils ont prévu d'arriver et le lieu qu'ils ont décidés de squatter.

sur la defensif relax c'est vraix que finalement ma question est bete car les italiens il sont rarement nonbreux a venir en grece ou meme a pas venir du tout,meme si les napolitains etait assez nombreux a panionios.

Les Catanesi interdits de déplacement à San Siro, uniquement parce que sur leur chemin, ils pourraient croiser des Tifoserie avec lesquelles ils ont des animosités .... W il calcio