Le Mouvement Ultra en Italie

Première journée du calcio (30-31 août):

Atalanta-Siena
Cagliari-Lazio
Catania-Genoa
Chievo-Reggina
Fiorentina-Juventus
Milan-Bologna
Roma-Napoli
Sampdoria-Inter
Torino-Lecce
Udinese-Palermo

Pas mal le Fio-Juve et Roma-Naples!

c'est surment le meilleur match possible pour regler tout les comptes possibles...
surtout celui ci:


enfin...surment le 1° match de la saison interdit de deplacement...

Romanista1927 a écrit:

enfin...surment le 1° match de la saison interdit de deplacement...

Ils vont interdire les napolitains de déplacement à Rome et autoriser les juventinis à se déplacer à Florence.

krevet a écrit:

Première journée du calcio (30-31 août):

Atalanta-Siena
Cagliari-Lazio
Catania-Genoa
Chievo-Reggina
Fiorentina-Juventus
Milan-Bologna
Roma-Napoli
Sampdoria-Inter
Torino-Lecce
Udinese-Palermo

Voici un lien avec le calendrier complet :

http://www.datasport.it/leggi.aspx?id=5148892

La Serie B pour ceux que ça intéresse

http://www.gazzetta.it/speciali/seriea/calendario_serie_b.shtml

20.9. / 14.2. Livorno - Pisa!

Satyro a écrit:

20.9. / 14.2. Livorno - Pisa!

trop coooool !!

(2 interdictions de déplacements)

rumore a écrit:

Satyro a écrit:

20.9. / 14.2. Livorno - Pisa!

(2 interdictions de déplacements)

à coup sur !!

Romanista1927 a écrit:

c'est surment le meilleur match possible pour regler tout les comptes possibles...
surtout celui ci:


enfin...surment le 1° match de la saison interdit de deplacement...

Mais tu ne parles pas de la banderolle "Spie" montrée par les romanisti a napoli en direction des groupes de la curva A? Alors qu'à Orvieto ils n'y etaient pas.
La banderolle d'Athènes, comme celle d'hier, à le mérite d'etre adréssé à la bonne personne après la confirmation en juin des denunce de la part des ultras romani.

rumore a écrit:

Romanista1927 a écrit:

c'est surment le meilleur match possible pour regler tout les comptes possibles...
surtout celui ci:


enfin...surment le 1° match de la saison interdit de deplacement...

Mais tu ne parles pas de la banderolle "Spie" montrée par les romanisti a napoli en direction des groupes de la curva A? Alors qu'à Orvieto ils n'y etaient pas.
La banderolle d'Athènes, comme celle d'hier, à le mérite d'etre adréssé à la bonne personne après la confirmation en juin des denunce de la part des ultras romani.

qui te dis que je parle des napolitains...

Romanista1927 a écrit:

rumore a écrit:

Romanista1927 a écrit:

c'est surment le meilleur match possible pour regler tout les comptes possibles...
surtout celui ci:


enfin...surment le 1° match de la saison interdit de deplacement...

Mais tu ne parles pas de la banderolle "Spie" montrée par les romanisti a napoli en direction des groupes de la curva A? Alors qu'à Orvieto ils n'y etaient pas.
La banderolle d'Athènes, comme celle d'hier, à le mérite d'etre adréssé à la bonne personne après la confirmation en juin des denunce de la part des ultras romani.

qui te dis que je parle des napolitains...

je n'avais pas lu le message plus haut

ViolAlex LF1991 a écrit:

paris latino a écrit:

Pour en revenir au napoli, même si c'est le NAPOLI avant toute considération politique, cela n'empêche pas les tensions et les divisions internes. Si par exemple un groupe aussi valide que les ex masseria a migré en distinti ce n'est pas pour mieux voir le match...
Ils sont tellements hait et craint en italie que les rancoeurs internes s'estompent ponctuellement le temps des déplacements, mais en "famille" à la maison c'est une autre histoire!!
Pour l'idéologie des uns et des autres, c'est comme n'importe ou, mais je ne me souviens pas d'avoir vu un symbole politique quelquonque au san paolo ou même en déplacement (volonté certaine de n'afficher aucune couleur politique)
rumore tu es en vacance?

Je suis d'accord. Après les tensions internes ne sont pas purement politique. Naples est une ville assez spéciale, et les histoires de la ville et du stade sont intimement liés et je n'ai jamais dit dans l'autre topic que tout était rose au napoli, et malgré un amour incroyable au club,un apolitisme radical au stade, les tensions internes existent tjs mais ça c'est inéluctable.

A Naples comme nulle part ailleurs les groupes actuels (exceptés le premier à naître, le plus mythique et le plus indépendant) ont grandis tous ensemble, dans les années 90 en n'affichant aucune couleur politique. Tous les problemes intra groupes ultras (j'inclue pas le commando) etaient dues a des guerres qui avaient rien a voir avec le foot ou une différence de mentalité au stade. le pire etant atteint lors de la guerre entre deux groupes aujourdhui disparus.
Aujourdhui la passion s'eteint petit a petit et la mode veut maintenant qu'on affiche toutes ses idées(...) sur sa peau ou ses vetements donc on peut voir des gars avec du matos clairement politisé mais il ne sera jamais question d'embrouilles politique à naples.

Vous dites un peu des bétises sur la masseria, la plupart de cet ancien groupe sont restés en curva A et sont en bons termes avec la curva, car comme j'ai dit plus haut tous les groupes actuels ont vraiment grandi ensemble. Quelques anciens ont gardé la bache secco vive mais pour le reste ce groupe est beaucoup composé de jeunes!

Lazio-Rimini

Quelles sont les Curva qui comptent "reprendre du service" après avoir stoppé bachage , chorées , etc ...

ok rumore merci pour ton éclairage avisé sur la réalité napolitaine.
Mais je pense que si la "secco vive" est partit en distinti avec d'ex masseria et que au même moment la bâche "masseria" n'apparut plus en "A", ce n'est surement pas le fruit d'une coincidence...
Donc le noyau est partit est les jeunes moins influents sont restés en curva.
Si quelqu'un a des tofs du retour napoli-panionios? secteur visiteur comprit.

En ce qui concerne Torino une grande bâche avec écrit Maratona club Torino et à l'extérieur une simple bâche Torino. CA sera une sorte de réunification de plusieurs groupes.

Malles-torino:






2000 personnes pour le premier entrainement:

Citation :

Comunicato ufficiale MARATONA CLUB TORINO


Negli ultimi anni la Curva Maratona ha indubbiamente vissuto una fase di declino rispetto al blasone del suo passato. Le cause cui si può imputare questa involuzione sono diverse e si può ritenere che la loro concomitanza abbia avuto un effetto estremamente dannoso.
Le nuove misure restrittive che hanno interessato il mondo del tifo organizzato a seguito dei tragici avvenimenti degli ultimi anni hanno notevolmente destabilizzato tutto l’ambiente, generando ricorrenti incomprensioni e malumori. Inoltre c’è da considerare l’andamento della squadra, che sicuramente non ha rispecchiato le iniziali aspettative, così come gli effetti negativi del ritorno nel nostro caro e vecchio Stadio Comunale, nonostante avesse dato un iniziale slancio all’entusiasmo di tutti. La presa di coscienza che il “nuovo” Stadio Olimpico sia un impianto assolutamente inadatto ad un evento come una partita di calcio ha presto infuso sconforto in tutti i tifosi granata che ricordano il grande fascino del Comunale di un tempo.
Le prime due stagioni in questo impianto ci hanno dunque regalato una Maratona sempre più grigia e svuotata del suo storico potenziale emotivo. Per tutti i tifosi granata del mondo l’importanza della Curva Maratona è sempre stata alla base dei successi della squadra, di conseguenza il suo progressivo declino non poteva essere tollerato ancora a lungo da tutti coloro che la amano veramente. La volontà di superare ogni incomprensione pur di tornare a far splendere la nostra casa ha dunque avuto il sopravvento su tutto, con l’obbiettivo di ridare un grande motivo d’orgoglio a tutti i tifosi del Toro.
Dalla nascita di ottime collaborazioni durante un’estate di lunghi incontri, si è giunti ad una soluzione che ha ridato entusiasmo e speranza anche a coloro che sembravano averla irrimediabilmente perduta.
E’ nato quindi un nuovo gruppo che avrà la stessa denominazione del primo striscione che apparve in Maratona negli anni ’60, quando il tifo organizzato mosse i suoi primi passi nella nostra città. Aldilà di un classico club di tifosi si spera di diventare il punto di riferimento per ogni tifoso del Toro, fungendo così da collante per tutte le realtà del tifo granata.
Lo striscione che dalla stagione 2008/2009 capeggerà al centro della Curva Maratona non avrà alcun simbolo e avrà soltanto scritto:
“MARATONA CLUB TORINO”
In trasferta, invece, porteremo uno striscione con il nome della nostra grande passione: TORINO.
Si riparte quindi da zero, o meglio da quello spirito anni ’70 che ci deve contraddistinguere e che ci portò alla ribalta delle cronache di tutto il mondo. Attraverso il grande impegno che ci sentiamo di promettere nell’organizzazione delle trasferte e nel colorare la Curva nel miglior modo possibile, speriamo di ottenere la fiducia e la collaborazione di tutti perché il mondo possa tornare ad invidiare la Maratona. In tutti noi c’è la reale volontà di coinvolgere chiunque ami veramente il Toro in questa avventura, con l’introduzione di diverse innovazioni e un nuovo spirito con il quale accompagnarle.
Siamo tutti consapevoli che le dinamiche del calcio moderno smorzeranno sempre di più i sogni di gloria di squadre come la nostra ma siamo pronti a ricominciare con l’intenzione di gridare al mondo il nostro amore incondizionato per la maglia granata.

MARATONA CLUB TORINO

paris latino a écrit:

Si quelqu'un a des tofs du retour napoli-panionios? secteur visiteur comprit.

Match aller :

http://fr.youtube.com/watch?v=CIZ73K2ZZnc

Match retour:


http://fr.youtube.com/watch?v=Wkv7OnyqHgs&feature=related

from sofoot.com


Leçons de passion à la napolitaine

lundi 28 juillet 2008
“Tutti pazzi per il Napoli” (tous dingues du Napoli) : voilà succinctement comment se vit le foot du côté de Naples, jamais sans demi-mesure, à la vie et à la mort. Pour illustrer ce panorama résolument extrême, quoi de mieux qu’une célèbre compétition d’été en voie d’extinction et à l’appellation ridicule ? Alors que la Coupe Intertoto, rebaptisée localement coupe à Totò (en référence à un célèbre acteur comique napolitain) ne soulève guère les foules que dans les contrées reculées des Balkans, le match retour du troisième tour – qualificatif pour la grande sœur UEFA – prend ici des allures de Vésuve au bord de l’éruption. Même quand l’adversaire n’est que le Panionios.

Après le match aller et une victoire 1-0 en Grèce, la fièvre n’en finit plus de monter la semaine précédant le match retour. Nombreux sont les Napolitains qui effectuent leur jogging fièrement parés de maillots aux sponsors périmés du temps glorieux de Maradona.

Jour après jour, la chronique locale du Corriere dello sport affiche le nombre de billets déjà vendus. Combien seront-ils samedi ? Jeudi, le chiffre hallucinant de 50 000 est avancé, alors que l’on tablait sur un “modeste” 30 000 une huitaine plus tôt.

Entre-temps, mercredi, la bagatelle de 300 fidèles s’est traînée jusqu’à l’aéroport, histoire d’accueillir dignement Lavezzi et consorts au retour du toujours difficile stage d’avant-saison. Dans la foulée, le soir-même, un entraînement public est organisé au San Paolo : 20 000 Napolitains (femmes, enfants, tifosi et ultras) y assistent dans la bonne humeur, animés collectivement d’une ferveur hors du commun.

Quelque chose d’extraordinaire pour le non-initié. Pendant presque deux heures, une opposition jeunes/titulaires voit ces derniers s’imposer 11-1, super à l’aise. Les chouchous Blasi et Denis font leur show (un triplé chacun), sous les clameurs d’un public déjà caldissimo. En revanche, le défenseur Domizzi, coupable de velléités de départ, sera cruellement conspué à chaque touche de balle. A Naples, on ne badine pas avec l’amour du maillot.

Samedi 26, le jour tant attendu est enfin arrivé. Alors que l’heure fatidique de la partie approche tout doucement, il trotte dans l’air une atmosphère spéciale – mélange de tension, d’impatience et d’excitation – le tout enveloppé d’un voile de solennité.

17 heures : les premiers motivés prennent le chemin du stade, sans compter les irréductibles déjà sur place depuis belle lurette.

18h30 : c’est à présent un flot ininterrompu de voitures et de scooters arborant ostensiblement les couleurs azzurre qui s’engouffrent dans le tunnel de Posillipo, pour déboucher à sa sortie sur le mythique San Paolo.

Autour de l’arène, l’enthousiasme napolitain fait plaisir à voir et donne carrément envie de participer à la fête. Auprès des bancarelle – ces stands ambulants où l’on peut se procurer en un clin d’œil tout l’attirail du parfait tifoso –, on se presse pour acquérir maillots, écharpes, drapeaux et tee-shirts.

19h30 : le bus des joueurs fait son apparition, vite assailli par une marée d’encouragements. A l’intérieur de l’antre de Fuorigrotta (le quartier du stade), les curve A et B sont déjà pleines à craquer, ce qui semble constituer un prétexte suffisant pour des dizaines de ragazzi qui se mettent à escalader le mur de plexiglas afin de rejoindre les distinti (tribunes latérales), le tout avec la bénédiction complète des stadiers qui laissent tranquillement faire.

20 heures : le président De Laurentiis, considéré par les supporters comme le sauveur d’un Napoli qui évoluait encore en Serie C il y a trois ans, entre sur la pelouse et se fait longuement submerger d’acclamations.

20h30 : les joueurs du Panionios entament leur échauffement sous une bronca de classe mondiale, presque un soulagement pour les oreilles jusque-là mises à rude épreuve par une sono digne des pires stades tchétchènes.

De son côté, la bonne centaine d’ultras du quatrième club d’Athènes ne sera pas en reste et se fait à son tour copieusement huer à son arrivée en tribunes. Le ton est donné : l’ambiance sera celle des grands soirs, 55 000 spectateurs assistant finalement à l’“évènement”.

Pourtant, sur le terrain, les Napolitains semblent d’abord tétanisés : dès la 1e minute, Iezzo repousse difficilement en corner une frappe vicieuse de D’Acol. Le Napoli déjoue, peine à se montrer dangereux et ce sont même les Grecs qui effectuent les mouvements plus intéressants.

La tension gagne rapidement les gradins où l’on se murmure que l’avantage du match aller ne sera certainement pas de trop. A la 24e minute, c’est cette fois le poteau qui renvoie une tentative de Choutos, suite à un corner cafouillé par la défense. Bien que combatifs et volontaires, les Parthénopéens sont dépassés physiquement par un Panionios bien en jambes, qui croit désormais clairement en ses chances.

Le public ne s’y trompe pas et redouble d’encouragements : les curve A et B se font ainsi écho en lançant alternativement des chants brefs mais d’une puissance phénoménale.

Au retour des vestiaires, les débats tendent enfin à s’équilibrer avec un Napoli qui commence à prendre le dessus sur un Panionios en passe de s’essouffler. Toutefois, peu d’occasions à se mettre sous la dent d’un côté comme de l’autre, et on commence à se faire à l’idée d’un éventuel 0-0, qualificatif à défaut d’être glamour.

C’est le moment choisi par Hamsik – l’un des chouchous du public – pour fusiller Kresic de près, récupérant une balle perdue dans la surface athénienne. On vient de franchir l’heure de jeu et le San Paolo entre alors dans un délire indescrïptible. Le but fait office de délivrance et signifie bel et bien que Naples retrouvera l’UEFA 14 ans après sa dernière participation et 19 ans après l’avoir remportée.

En curva A, on crame une dizaine de fumigènes en guise de feux de joie. Sur la pelouse, les joueurs ne s’y trompent pas et gèrent paisiblement la fin de rencontre face à un adversaire résigné et pouvant légitimement nourrir des regrets.

L’arbitre siffle, un dernier « Ourrraaaahhhh » foudroie les travées, on se congratule, on se signe, on s’embrasse ; l’affaire est dans le sac. Les joueurs saluent respectueusement le public, mais ne prolongent guère la communion et rentrent rapidement aux vestiaires : la victoire représente plus un soulagement que de l’euphorie à l’état brut.

Pour l’orgueil napolitain, retrouver l’Europe ne se situe en réalité que dans la logique des choses et l’on se promet déjà que des succès plus prestigieux seront très bientôt à célébrer. Plus que jamais, Naples est de retour.

Paul Bartolucci, au San Paolo de Naples, avec LDC

Des photos du trofeo tim de hier ?

excellent le résumé du match de l intertoto à Naples.

respect à eux 55 000spectateurs pour un match de coupe intertoto !!!

cela nous promet une belle ambiance en coupe de l uefa.

Quel est le principal groupe de naples, sa mentalité, combien membres etc svp?

Quelqu'un connait des sites ou ils vendent des places pour le derby romain ?

t'en trouveras le jour du match

Quelqu'un aurait il un calendrier des différents matchs amicaux? Je n'ai pas trouvé sur le net. Je suis en italie du 20 au 29.
Merki.