Support you local Team ?

J'étais persuadé que cet exemple arriverait....
Et ton interrogation est pertinente ,car à vrai dire ce genre de personnage radicalement attaché à l'ASSE on en connait tous.. clairement.
Inontestablement ce sont d'authentiques supporters qui ne se fourvoient pas à être fan de l'om dans les années 90 ou de Lyon dans les années 2000.
Et ça pourrait valoir aussi pour les mecs devenus fans de l'OM à la charnière des années 80 et 90.
Les épopées européennes jouent beaucoup sur la psychologie du français moyen fan de foot, c'est bien pour ça que l'OL, Colosse hexagonal mais nain européen n'entre pas plus des les coeurs des gens. ( A la rigueur tant mieux pour eux car je suis pas cetain aient été enchantés de la popularité incroyable de leur club..)

Après chaque cas est différend.

Mais pour revenir à la problématique de départ, en plus de l'appartenance géographique, l'appartenance familiale joue beaucoup comme l'avais évoqué Rotten.

L'appartenance footballistique familiale est primordiale, c'est un fait. Encore que certains ont pris le contre-pieds paternel à l'orée de l'adolescence, à une période de la vie où tout est remis en cause (la fameuse crise...) Mais là, on entre dans les méandres de la psychanalyse.

Ca c'est aussi c'est une réalité incontestable...
De même entre frères, il y a des familles avec des mecs fanatiques pour schematiser du Psg et de l'OM.
Maintenant la transmission familiale de la passion du foot et d'un club, c'est un truc unique.
Et puisse qu'on en ai à faire de la psychologie de bas étage, la passion commune d'un club peut être un vecteur apaisant et éviter les conflits à l'adolescence.

ViolAlex LF1991 a écrit:

Et puisse qu'on en ai à faire de la psychologie de bas étage, la passion commune d'un club peut être un vecteur apaisant et éviter les conflits à l'adolescence.

Les éviter je ne sais pas, mais en tout cas c'est sûr que ça structure la personne. Ne serait-ce que les contraintes horaires que représentent les rendez-vous pour une réunion, pour préparer un tifo, se rendre au stade ou partir en dép. C'est tout con, mais combien de jeunes sont en perte totale de repères temporels.

Désolé de m'éloigner dangereusement du sujet.

Expérience Perso puis Participation Au Débat


Quand j'ai commencé à m'intéresser à ce sport, j'étais déjà très connard dans l'âme.
Et par conséquent j'ai décidé de me mettre à supporter une équipe que personne dans mon entourage de potes (de 6ème à l'époque) ne supportait.

Grandi et toujours vécu en banlieue parisienne... Avec donc une mixture de gars qui sont soit pro-PSG, soit pro-OM.
Nullement question de supporter l'un ou l'autre donc.

Il y avait cette grande ville, dont on entend jamais parler aux infos, à savoir Lyon. A mi-chemin entre Paris et Marseille...

Il y avait ce club, qui n'avait rien gagné depuis un bail, dont tout le monde se foutait éperdument, à savoir l'OL.
Putain le concept m'a tout de suite plu.

A l'époque pour acheter le maillot de l'OL à Paris, c'était la mission. Commande par téléphone au magasin de l'OL obligatoire!

Me rappelle encore comme si c'était hier d'un vendeur d'un magasin de sport, à Châtelet. Je cite. "Mais pourquoi on vendrait des maillots de Lyon, tout le monde s'en fout de Lyon".

Le jour où j'ai reçu ce foutu maillot "Sodexho" par la poste, putain, j'avais les larmes aux yeux.

Incalculable le nombre de railleries que j'ai pu subir à l'époque. Tout ce collège de petits branleurs m'appellait "Le Lyonnais". J'étais seul et c'était du tout bon. On perdait beaucoup plus qu'à l'heure actuelle.... Première "bagarre" dans la cours d'école après une défaite scandaleuse 4-1 à Bastia, où un mec de ma classe avait été trop loin dans son chambrage. Et puis par la suite, il y a eu Maribor et ce genre de matchs à devenir dépressif.

Premières larmes (Bologne) et premier pétages de plomb (encore et toujours Maribor), un bon laps de temps à payer 50 balles tous les Samedi soir sur le Pay Per View pour ne rater absolument aucun match devant la télé.

...Me rappelle d'une embrouille avec une petite copine de l'époque (l'époque ou tu fais que des bisous avec la langue) parce qu'il fallait absolument que je me barre du Centre Pompidou pour rentrer chez moi afin d'écouter à la radio un pauvre Tours-Lyon en Coupe.

...Me rappelle de ces bâtards de voisins qui sont venus sonner au portail pour me demander de me calmer, tout en menaçant d'appeller les flics, après le but de Delmotte à la 92ème à Lille en 2001, où j'en pouvais plus de crier de rage et de bonheur. (1-2). Avec mon père qui me tarte par dessus le marché

Et puis tu te décides à aller au stade. PSG-OL 99/2000, notre égalisation tardive (Tony V. Rules!), et des stadiers qui veulent me dégager (de la Présidentielle) "Pour ma sécurité". Je faisais 1mètres20, bordel. :)

Idem en 2000/2001 avec le but de Marlet, et cette balle qui roule tout doucement et qui finit derrière la ligne. Orgasmique. Heureusement ce jour là que ma grande soeur s'était interposée devant les deux vieux connards qui voulaient me tarter. (En F Bleue).
(Aujourd'hui je vois un gamin qui saute de joie dans le VS sur un but adverse, il me viendrait pas à l'idée d'aller le tarter. Tant que ce n'est qu'un gamin...)

Et puis, un premier match en parcage avec les Gones. Impression bizarre, des mecs tatoués de partout (H. m'avait choqué ) , quelques slogans un peu douteux... Cette foutue tête de F. Née qui touche la transversale puis le poteau avant de rentrer, première "bousculade" et premier pétage de plomb en collectivité, entouré des "miens".

Et puis, un premier match à Gerland.
Et puis un premier déplacement, loin de chez toi. Et puis un deuxième tout de suite après. Et puis plus d'une centaine d'autres derrière...

Un amour absolu, une raison de vivre. Autant que pour un Lyonnais pur sang.

Des potes; des ennemis; des potes qui deviennent des ennemis et vice-versa; des joies; des embrouilles; des désillusions, des murges inoubliables, des sessions trainspotting très oubliables; des voyages gravés à jamais; des potes qui crèvent sur la route; des gars avec qui tu traînes pendant 2-3 et qui d'un seul coup arrêtent tout; des coupes de soulevées; des bandes qui apparaissent; d'autres qui arrêtent; et cette foutue mentalité ultrà que tu chopes au bout d'un certain temps et qui finit par driver ta vie, bien au délà du stade.







C'est pas commun les gars qui vont aller supporter un club de losers, plutôt que de supporter le club de leur ville alors qu'il est en L1; alors qu'ils n'ont jamais foutu les pieds dans la ville ou dans le stade en question.
Mais je suis sacrément fier d'avoir "fait ce choix".




Ca me fait plaisir de voir tous ces gosses parader avec les maillots Juninho et Benzema dans Paris. Parce que c'est des gosses, et que c'est mignon.

Par contre quand ils vont grandir, et que ça va donner les blaireaux qui remplissent les trous des parcages Marseillais/Stéphanois, et ça me fera nettement moins sourire.
Dans le lot y'aura sûrement quelques nerveux, qui auraient été prêts à bouger avec Tonton ( ), mais y'aura plus d'Ultras et autres Marginaux des stades dans cet avenir à moyen terme, donc bon...

Quant aux girouettes bien plus âgées, de partout en France, qui se sont mis à supporter l'OL depuis qu'on gagne des titres, ils ne méritent que le mépris.






Support Your Local Team?

On est pas en Italie... On grandit pas avec l'orgueil de sa ville. Y'a pas cette mentalité "guerre de clochers" en France. (Et c'est bien dommage!)

Respect à tous les bons gars de section, ceux... Qui ne se sont pas mis à supporter un club en question parce qu'il était "hype".
Respect à tous ceux qui habitaient dans la ville en question, qui ont du déménager pour des raisons diverses, et qui continuent à se bouger comme avant.

Respect à ces gens qui bougent une bonne partie du temps en petit nombre, avec une logisitique proche du néant. (Je connais bien le délire.)

Heureusement que tous les franciliens ne sont pas derrière le PSG ! La mauvaise image que traine le club (même si cela est en train de changer) décourage beaucoup et n'attire que les passionnés et amoureux.
Enfin n'oublions pas qu'il n'y a pas si longtemps que ça, quand l'om, st-etienne venaient au Parc la majorité du stade était acquis à leur cause et que, c'est dans ces atmosphères hostiles qu'une mentalité est née...

ViolAlex LF1991 a écrit:

Et puisse qu'on en ai à faire de la psychologie de bas étage, la passion commune d'un club peut être un vecteur apaisant et éviter les conflits à l'adolescence.

Je ne peux que rejoindre tes paroles. Dans mon cas la transmission a été inversé. Mon pere n'a jamais été fan de foot mais il s'est mis à m'enmener voir pas mal de matchs durant ma "tumultueuse" adolescence.
Ce n'etait evidemment pas un acte anodin de sa part, mais ca on s'en rend compte que plus tard...

Comme l'a énoncé Housemiousique, en France on n'a pas connu le "campanilismo" qu'à connu l'Italie vers la Renaissance, avec des rivalités entre villes très poussées, où il fallait avoir une plus grande cathédrale que la voisine, s'attacher le talent des meilleurs artistes comme Florence et Sienne notament. Et mine de rien, il y a bien un héritage culturel à ce "campanilismo" qu'on n'a pas en France. Mis à part les supporters de foot presque personne n'a de haine envers une autre ville seulement par pur fierté. Et ça n'aide pas à développer un quelconque attachement, ou une envie de "défendre", la ville où l'on vie.

[quote="ultras paris"]

BBC a écrit:

ultras paris a écrit:

Et pour le lyonnais les superficie sont calculer en vol d'oiseau..

Pour austerlitz quand je parles d'identité je parles de la fierté que porte les parisiens pour leur ville..

J'trouve que pour une capitale, les Parisiens sont plutôt très fiers de leur ville.

Kiryel a écrit:

Comme l'a énoncé Housemiousique, en France on n'a pas connu le "campanilismo" qu'à connu l'Italie vers la Renaissance, avec des rivalités entre villes très poussées, où il fallait avoir une plus grande cathédrale que la voisine, s'attacher le talent des meilleurs artistes comme Florence et Sienne notament. Et mine de rien, il y a bien un héritage culturel à ce "campanilismo" qu'on n'a pas en France. Mis à part les supporters de foot presque personne n'a de haine envers une autre ville seulement par pur fierté. Et ça n'aide pas à développer un quelconque attachement, ou une envie de "défendre", la ville où l'on vie.

J'trouve ça pluôt bien pour la maison France

Kiryel a écrit:

Comme l'a énoncé Housemiousique, en France on n'a pas connu le "campanilismo" qu'à connu l'Italie vers la Renaissance, avec des rivalités entre villes très poussées, où il fallait avoir une plus grande cathédrale que la voisine, s'attacher le talent des meilleurs artistes comme Florence et Sienne notament. Et mine de rien, il y a bien un héritage culturel à ce "campanilismo" qu'on n'a pas en France. Mis à part les supporters de foot presque personne n'a de haine envers une autre ville seulement par pur fierté. Et ça n'aide pas à développer un quelconque attachement, ou une envie de "défendre", la ville où l'on vie.

Peut être mais les gens en France sont d'abord fier de leur pays avant d'être fier de leur ville !

Je ne suis pas si certain que toi pour la dernière phrase, j'en sais rien en fait, enfin c'est pas mon cas...

Perso je ne suis pas marseillais. Je viens d'un département pour qui "haut niveau" en foot c'est la CFA2 (à la grande époque), aujourd'hui c'est la DH.

Même si je n'y habite plus (cause boulot), mon païs j'y suis attaché vraiment profondément, c'est mon sang, un truc dur à expliquer...

Minot j'ai rêvé avec les parcours en Coupe de France, quand le club de ma ville (en DH) arrivait au 8ème tour et jouait des pros, au stade j'avais 10/12 ans et c'était la folie...

Mais c'était la fin 80's / début 90's donc forcément y'avait des poster de Papin, Waddle et Sauzée dans ma chambre.

Mon père fan de foot, avait suivi (au stade en partie) l'épopée des Verts dans les 70's mais ouf j'ai eu la clairvoyance de ne pas me laisser embarquer par sa propagande envers ce club de merde

Département sans équipe "haut niveau" donc, au niveau régional : Montpellier (jamais accroché, j'aime pas la ville), Nîmes ou Alès (tout bon lozérien est "anti gardois" de base même si j'y vis aujourd'hui )... donc...

Premier match de D1 pour moi c'était un OL/ASSE à Gerland en 93, j'avais bien aimé le bordel au stade, les charges de CRS dehors mais je n'aimais déjà aucune de ces deux équipes qui ne représentaient rien pour moi, je n'aimais pas cette région Loire et Rhône, je ne me sentais pas chez moi.

Amoureux du Sud + le "passif" du minot / ado au début des années 90 ---> tu tombe amoureux de l'OM même si c'est pas ta ville et que depuis que tu suis "sérieusement" l'équipe (c.a.d au stade, pas devant sa télé comme en 93) c'est quasi que des déceptions, des finales perdues etc...

Maintenant c'est comme ça, c'est ancré et ça ne changera jamais, même si j'arrête d'aller au stade, l'OM ça sera toujours mon club, même si Marseille n'est pas ma ville. Je l'aime vraiment cette ville, quand j'y suis je m'y sens bien, mais c'est pas ma ville, pas la peine d'essayer de se raconter une histoire, j'y ai pas grandi, j'y ai pas mes potes d'enfance etc...

Personnelement étant très jeune je supporter marseille bordeaux auxerre le tout en meme temps, mais je me suis très vite rendu compte que c'était pas crédible de supporter un club pour un joueur comme quivarch a auxerre
et quand on entend si tu es fier d'etre parisien, c'est d'abord de la ville qu'on parle et pas du club
Les joueurs passent , l'equipe , aussi donc meme si l'equipe nous a fait rever c'est pas une raison qui doit nous pousser a les supporter
Un club de foot represente une ville point barre
donc si on y a jamais habiter c'est tellement ridicule
c'est comme supporter le brésil en coupe du monde
il n'y a qu'en france qu'on voit sa

Je vois pas ce qu'il y a de ridicule garçon de supporter un club d'une autre ville que la sienne si c'est fait avec sincérité et passion.

La question c'est aussi c'est quoi un supporter ? Celui qui regarde les match à la télé ou celui qui alignent les kilomètres pour voir son équipe de coeur.

Le critère géographique compte, mais pas seulement.

Personnelement, j'me sens bien plus proche d'un Niçois jacobin que d'un indépendantiste du Vexin.

delire_ultras a écrit:

Les joueurs passent , l'equipe , aussi donc meme si l'equipe nous a fait rever c'est pas une raison qui doit nous pousser a les supporter
Un club de foot represente une ville point barre
donc si on y a jamais habiter c'est tellement ridicule

Tu ne trouves pas ca un peu reducteur?
Je m'en fous pas mal des joueurs qui passent, et eux se foutent encore plus de nous. La seule chose qui compte c'est le maillot qu'ils ont sur le dos, qu'ils le meritent ou non là n'est pas la question.
Simple exemple: heuresement qu'à Sainté tout le monde ne suit pas ton raisonnement sinon il y aurait bien longtemps que les tribunes se seraient vidées...

On pourrait etendre le débat et se poser la question si les clubs représentent reellement leur ville... Ce qui m'attirait avant tout c'etait ce club, ses valeurs, son histoire, son public... Pas forcément sa ville.
Avec le temps et les matchs on commence a se sentir fier de cette ville qu'on supporte. Mais la on arrive deja à un autre stade.
J'en arrive à un point ou beaucoup de collegues/connaissances qui ne suivent pas le foot croient que je suis reellement de Sainté. Quand je dis que je suis de Rouen peu de gens me comprennent... Et je ne pensais pas retrouver cette imcomprehension sur un tel forum!
La passion ne se commande pas.

moi je suis comme mon avatar
Sinon ultrasparis pour l'ensemble de tes posts

Que dire que dire???
Je vais prendre l'exemple de Sainté parce que c'est mon club, ma ville plus qu'une fierté une façon de vivre.
Quand je lis qu'il ne faut pas « adopter » la ville de l'équipe qu'on supporte là je tombe des nus.
Je parle pour les Ultra pas pour les supporters lambda.
Sainté représente des valeurs tel la courage, l'humilité, le travail, l'abnégation...alors oui tu es obligé même si tu n'es pas du coin d'aimer cette ville qui respire le football. Je suis fier de ma ville, et je ne me vois pas la quitter après on ne sait jamais. J'ai beau avoir vécu dans le sud et le sud ouest pour le taf je suis toujours revenu à mes racines. Quand je lis qu'il n'a pas de fierté territoriale en France là aussi j'hallucine.
Je dirais plutôt le contraire, minoritaire sont ceux étant fier d'être français et l'appartenance à sa ville à son département est quelque chose d'encrée chez la plupart d'entre nous.
Je suis stéphanois, et à la limite la France dans sa globalité je m'en tape royalement.

Pour ce qui est de la guerre des clochés certes ce n'est pas l'Italie mais quand tu regardes les petits villages force est de constater qu'elle existe y a qu'à voir les embrouilles inter villages lors des petits bals de campagne voir même entre match de petits bleds voisins après c'est sur rien à voir avec l'Italie.

Je ne vois pas comment être Ultra et ne pas aimer la ville que l'on supporte niveau foot.
Le mec qui dit je ne pourrais jamais y vivre je ne le comprend pas non plus.
On a la « chance » d'avoir un club qui n'a rien gagné depuis un bye ça permet au moins de ne pas avoir autant de suceur que d'autres club.

Pour revenir au 3615 la vie de housemusic certes c'est tout à ton honneur de t'être intéressé à un club qui à l'époque n'avait pas gagné grand chose (c'était quand même le début de l'histoire de ce club niveau titre...) mais tu restes un OVNI qui sur ce que je lis a choisi ce club plus pour te démarquer qu'autre chose au début.
Certes tu as vécu et tu vis des délires grâce à ce club mais le côté « je me démarque je suis un ado rebel » est trop présent dans ton récit. Des gars comme toi y en a pas 2. Ca reste tout à ton honneur mais honnêtement mis à part le fait que tu as l'air aimer te démarquer en faisant l'inverse de tous je vois pas trop l'intérêt surtout pour un parisien, surtout que tu les aimes bien les parisiens avouent. Blague à part....

Trêve de plaisanterie, un Ultra représente une ville avant de représenter un club, il représente une mentalité, le reste pour ma part c'est des balivernes.
Un parisien fan de l'OM suite aux années 90 beurk, de succroit se sentant Ultra ben voyons et même si il s'investit dans son groupe.
Il en va de même pour n'importe quel club.
Chacun est libre de faire et de penser ce qu'il veut mais un mec agissant ainsi crache sur sa ville qu'il dit aimer malgré tout et ne veux pas aller vivre dans la ville de son coeur footballistiquement parlant  ben voyons!!!!.

[quote="Austerlitz"]

ultras paris a écrit:

BBC a écrit:

ultras paris a écrit:

Et pour le lyonnais les superficie sont calculer en vol d'oiseau..

Pour austerlitz quand je parles d'identité je parles de la fierté que porte les parisiens pour leur ville..

J'trouve que pour une capitale, les Parisiens sont plutôt très fiers de leur ville.

Et ben je sais pas où tu vis mec.. J'ai beau faire les quartiers en banlieue , les quartiers intra-muros (souvent grâce au foot pratiqué dans les clubs amateurs) j'ai jamais trouvé une vraie fierté parisienne. Ou alors elle est très bien cachée. La majorité du temps soit les gens s'en foutent ou soit il ne se réclame pas parisien par fierté à je ne sais pas quoi. Après oui y'en a qui sont fiers, heuresement d'ailleurs.. Mais en même temps ça donne un gout spécial d'afficher SES couleurs dans une ville qui n'est pas totalement acquis à cette cause. Sa te donne encore plus envie de porter haut tes couleurs , sans compter les divers tapages médiatiques. Je cache pas que j'aimerai un jour que Paris supporte entièrement sa "local Team" maintenant aux heures de gloire ça fait plaisir de montrer les couleurs parisiennes face aux éventuels "suceurs" (parce que la plupart sont des suceurs et ne sont pas passionnés).

destroy42 a écrit:

Je dirais plutôt le contraire, minoritaire sont ceux étant fier d'être français et l'appartenance à sa ville à son département est quelque chose d'encrée chez la plupart d'entre nous.

A paris les départements veulent rien dire.. Et même dans certaines autres régions je trouves les départements insignifiants.

ultras paris a écrit:

Et même dans certaines autres régions je trouves les départements insignifiants.

comme te le dit paris latino, pour l'ensemble de tes messages :
Tu trouves les départements insignifiants ? De quoi tu parles ? Tu estimes que ces départements "ne valent rien" ? que les mecs qui y vivent doivent eux aussi penser que leur coin, c'est de la merde ? Vraiment, si tu pouvais expliquer ces quelques mots ?

Ah ces parisiens, mais...

[quote="ultras paris"]

Austerlitz a écrit:

ultras paris a écrit:

BBC a écrit:

ultras paris a écrit:

Et pour le lyonnais les superficie sont calculer en vol d'oiseau..

Pour austerlitz quand je parles d'identité je parles de la fierté que porte les parisiens pour leur ville..

J'trouve que pour une capitale, les Parisiens sont plutôt très fiers de leur ville.

Et ben je sais pas où tu vis mec.. J'ai beau faire les quartiers en banlieue , les quartiers intra-muros (souvent grâce au foot pratiqué dans les clubs amateurs) j'ai jamais trouvé une vraie fierté parisienne. Ou alors elle est très bien cachée. La majorité du temps soit les gens s'en foutent ou soit il ne se réclame pas parisien par fierté à je ne sais pas quoi. Après oui y'en a qui sont fiers, heuresement d'ailleurs.. Mais en même temps ça donne un gout spécial d'afficher SES couleurs dans une ville qui n'est pas totalement acquis à cette cause. Sa te donne encore plus envie de porter haut tes couleurs , sans compter les divers tapages médiatiques. Je cache pas que j'aimerai un jour que Paris supporte entièrement sa "local Team" maintenant aux heures de gloire ça fait plaisir de montrer les couleurs parisiennes face aux éventuels "suceurs" (parce que la plupart sont des suceurs et ne sont pas passionnés).

destroy42 a écrit:

Je dirais plutôt le contraire, minoritaire sont ceux étant fier d'être français et l'appartenance à sa ville à son département est quelque chose d'encrée chez la plupart d'entre nous.

A paris les départements veulent rien dire.. Et même dans certain
es autres régions je trouves les départements insignifiants.

Waouh eh ben t'es un tout bon toi...
La France ne se résume pas à paris et heureusement fin bon à quoi bon parler avec un autiste continu comme ça l'artiste

j'pense qu'il voulait dire que les départements franciliens ne signifiaient pas grand chose pour leurs habitants du fait de la continuité urbaine et culturelle.

NB : Ca s'applique pas à certains rappeurs.

En même temps pour la question des départements c'est si stupide ce qu'il dit?
Non parce que y en a un paquet qui font référence à leur région, à l'identité de la région, etc...Dans le cas où l'identité régionale est très forte est-ce que le département a une grande importance, j'en suis pas sur.
Surtout que c'est un découpage administratif, fait par les méchants centralisateurs révolutionnaires quand les régions reposent sur les anciennes provinces et donc avec une légitimité historique plus grande.
Mais bon Lyonnais et Stéf qui réagissent sur ça c'est pas trop étonnant.
Bref désolé d'intervenir je suis qu'un enfoiré de Parisien fier et arrogant qui connait rien à tous les bouseux vivant en dehors de l'IDF.

Rotten a écrit:

En même temps pour la question des départements c'est si stupide ce qu'il dit?

Oui, je te l'assure. Ca l'est.

Rien que ton exemple sur les régions d'avant la révolution... Ben oui mais y a plus grand monde qui a vécu à cette époque là, le découpage actuel est quand meme bien ancré dans les esprits... Rhone/Alpes, 69/42, si si je te jure, le département c'est important.
Demandez à notre ami lozérien (je parie que pour certains parisiens, la lozere, hein, comme département... c'est particulièrement insignifiant...) si pour lui, 30, 48, 34 et 12 c'est tout pareil...

Ils parlaient des départements franciliens ultra paris

Et de certains autres départements également, j'pense que les Indriens et les Chériens se sentent plus Berrichons qu'Indriens et Chériens justement.

Edit houblons