Le Mouvement en Suisse, Hockey sur Glace

Migou a écrit:

A mon avis, il y a deux raisons Cescox:

1) l'utilisation du mot "secundos" doit sûrement indiqué des "racailles" (enfin, des jeunes au "look hip-hop"), donc pas la population habituelle de la patinoire. Le gros des incidents semblent s'être déroulé à un certain bar, où des "jeunes" se sont amusés à balancer les chaises sur les Bernois.

2) c'est pas la première fois que cette explication est avancée concernant l'hooliganisme: le premier à l'avoir fait est le maire de ZH, qui a ainsi inventé le terme de "secundos". A mettre en lien avec les déboires actuels de la Kreis 4 dans le football. Y a sûrement du mimétisme dans les explications.

Tout-à-fait d'accord avec toi. Ce qu'il serait encore plus intéressant de connaître, c'est la proportion de secundos dans les groupes ultras. Vue l'importance du mouvement dans les pays d'origine de nos secundos (dont je suis), il ne seraît pas étonnant de trouver une forte proportion dans les groupes.
D'autre part, est-ce que les jeunes au look hip hop sont automatiquement des fils d'immigrés...?

cescox a écrit:

D'autre part, est-ce que les jeunes au look hip hop sont automatiquement des fils d'immigrés...?

C'est plus facile pour eux de généralisé l'truc ...

On ne peut pas nier qu'une majorité l'est quand même... Bien que de là à généraliser, y a un pas à ne pas franchir on est d'accord.

Je veux pas faire le modo, mais revenons au hockey car on va très vite partir dans un débat politique stérile et qui n'a pas sa place ici.

Pour recentrer niveau hockey. Ca a été raconté qu'il y a eu un blessé grave à Rappi, mais de quel côté? On peut en savoir plus ou seul les présents savent?

Désolé, le but n'était pas du tout de virer dans le pseudo-politique. J'étais juste étonné par le fait que l'on mette la faute des incidents sur une catégorie sociale et que ça passe comme une lettre à la poste. Surtout que ces incidents se sont produits dans un match marqué par une forte et traditionnelle rivalité.

bas a écrit:

Zian a écrit:

Question aux gars de LNB : qu'en est-il du supporterisme du coté de Ajoie?

Je suis tombé par hasard sur RJB et la retransmission du match Ajoie-Bienne et il semblait avoir une putain d'ambiance à Porrentruy, avec des chants il me semble à "connotation" ultra ou en tout cas dépassant le classique (notamment un "emmenez-moi" dont les paroles m'intéresseraient).

J'avais regardé il y a quelque temps mais j'avais pas trouvé de site de groupe en tout cas. Ca avait l'air bien sympa en tout cas, biensur leur victoire n'y est pas pour rien mais ca m'intrigue.

Merci d'avance!

a Ajoie y a un fans club avec un capo qui lance des chants mais ils ne sont pas ultra, mais à Ajoie cette année l ambiance sans etre extrordinaire est quand même nettement mieux cette année avec une patinoire assez bien remplie cette année et une ambiance vraiment pas mal durant certain match nottament le dernier match Ajoie-Viege ou il y a eu le record de spectateur de la saison à Ajoie.

Egalement présent à "Porren" dans le "kop" local pour voir un match cette saison. Agréablement surpris par l'ambiance. Vu le lieu, l'enjeu et l'adversaire (GK) j'ai trouvé un "kop" pas trop mal organisé avec une ambiance supérieure à ce que j'aurais pu imaginer, malgré des chants pas très varié, pas tenu longtemps et repris par un public très jeune. Quelques chants repris par la latérale.

Jolezurichois a écrit:

On ne peut pas nier qu'une majorité l'est quand même... Bien que de là à généraliser, y a un pas à ne pas franchir on est d'accord.

Je veux pas faire le modo, mais revenons au hockey car on va très vite partir dans un débat politique stérile et qui n'a pas sa place ici.

Pour recentrer niveau hockey. Ca a été raconté qu'il y a eu un blessé grave à Rappi, mais de quel côté? On peut en savoir plus ou seul les présents savent?

du cote genevois. Cette personne a recu un caillou sur la tete.

perso, je n'etais pas present mais j'ai eu des echos par des potes qui etaient present .

cescox a écrit:

Désolé, le but n'était pas du tout de virer dans le pseudo-politique. J'étais juste étonné par le fait que l'on mette la faute des incidents sur une catégorie sociale et que ça passe comme une lettre à la poste. Surtout que ces incidents se sont produits dans un match marqué par une forte et traditionnelle rivalité.

Parce que le but premier de l'intervenant est de faire passer le message que le hockey n'est pas responsable (c'est le type de la LN, non?), qu'il s'agit un problème extérieur. Donc, qu'il ne sert à rien de fermer les patinoires.

Migou a écrit:

cescox a écrit:

Désolé, le but n'était pas du tout de virer dans le pseudo-politique. J'étais juste étonné par le fait que l'on mette la faute des incidents sur une catégorie sociale et que ça passe comme une lettre à la poste. Surtout que ces incidents se sont produits dans un match marqué par une forte et traditionnelle rivalité.

Parce que le but premier de l'intervenant est de faire passer le message que le hockey n'est pas responsable (c'est le type de la LN, non?), qu'il s'agit un problème extérieur. Donc, qu'il ne sert à rien de fermer les patinoires.

Clair, mais je trouve étonnant que ça n'ait fait réagir personne.

Mario Thalmann , responsable de la sécurité à St-Léonard
«Je suis obligé d’être dur»
A la patinoire Saint-Léonard, c’est lui qui fait la loi. Responsable depuis le début du service d’ordre de Fribourg-Gottéron, Mario Thalmann a vu la situation se dégrader. «Si on desserre la vis, ça dérape.» Il ne peint pas le diable sur la muraille pour autant: à l’intérieur de la patinoire, il n’y a quasiment jamais de problèmes: «C’est une minorité qui donne une mauvaise image de tout le public.» Voici le regard de l’homme de terrain.

Le hobby de Mario Thalmann, c’est la sécurité
Certains l’aiment, d’autres le détestent. Tous le redoutent. Mario Thalmann, 44 ans, n’impressionne pas par son gabarit, mais c’est bien lui le shérif de la patinoire Saint-Léonard. Il interpelle et rappelle à l’ordre, il donne une tape amicale dans le dos et met à la porte les fauteurs de troubles. Il pose le regard d’un homme de terrain sur la situation actuelle. Sans éluder le problème ni peindre le diable sur la muraille. Mario Thalmann en a forcément vu de toutes les couleurs. Voilà trente-deux ans qu’il est entré dans le staff de Fribourg-Gottéron. Dans la sécurité? «Non, à l’époque, il n’y avait rien de tout cela.» En 1976, il aurait de toute manière été trop jeune pour se coltiner un tel boulot. «On travaillait tous comme placeurs. Il y avait bien quatre Securitas, mais ils étaient juste là pour contrôler les billets à l’entrée.» C’était le bon vieux temps des Augustins, en Basse-Ville, où l’on mangeait la fondue dans les gradins, où «on ne voyait jamais un policier autour d’un match de hockey, même quand il s’agissait du derby entre Fribourg-Gottéron et Berne». Puis le club a déménagé à la patinoire Saint-Léonard, où le grand défi fut, avec les belles années de Bykov et de Khomutov, de faire entrer tout le monde. Car, c’est un secret de Polichinelle, «la capacité était largement dépassée». Ce n’est qu’il y a une dizaine d’années qu’une force d’intervention interne au club a été mise sur pied. Il en est le responsable, avec Jacques Sottas, membre du conseil d’administration, comme supérieur hiérarchique.

«Le respect se perd»
Mario Thalmann a vu la situation se dégrader. «Le respect se perd entre les gens. Mais c’est juste à l’image de ce qui se passe dans la société, expose-t-il. Il n’y a pas si longtemps, les supporters des deux camps buvaient un verre ensemble après le match. Avec certaines équipes, ce n’est plus possible. La Ligue a même décrété que les fans adverses devaient repartir en bus peu après la fin de la rencontre.»

Derrière ses grandes lunettes, Mario Thalmann voit tout ce qui se passe en soupirant. Il tient surtout à nuancer les choses: «Une minorité donne une mauvaise image de tout le public», insiste-t-il. Il relève aussi que les problèmes interviennent quasiment toujours en dehors de la patinoire et ne concernent pas forcément des supporters de hockey.

«A l’intérieur, il n’y a jamais eu d’accidents graves. Des bousculades, des engueulades, des jets d’objets, oui, mais rien qui ait des conséquences très très sérieuses.» Il précise aussi que seuls les matches contre Berne et Rapperswil sont à risques.

Et si de gros ennuis sont évités dans l’enceinte, c’est surtout parce que le service d’ordre de Fribourg-Gottéron intensifie son travail. «Depuis qu’on effectue des fouilles à l’entrée, par exemple, on ne dénombre quasiment plus d’objets dangereux», précise-t-il. Bien moins, selon lui, qu’il y a une dizaine d’années, quand Jean Martinet, le président de l’époque, avait brandi un pistolet trouvé chez des supporters.

Autres mesures prises: les interdictions de patinoire. Cette saison, une quinzaine ont été prononcées à Fribourg pour quelque 200 dans toutes les patinoires du pays. Un chiffre qui augmente. «Nous sommes plus sévères, c’est sûr. Moi-même, je suis obligé d’être dur. Si on desserre la vis, ça dérape.»

Si ce n’est pas directement dans ses compétences, Mario Thalmann suit toujours avec attention ce qui se passe à l’extérieur. «On donne un coup de main aux policiers. Cela permet aussi de réduire quelque peu leur nombre. La collaboration est excellente.»

Menaces de mort
Lui-même n’a jamais été agressé physiquement. «Je me suis fait traiter de tous les noms d’oiseaux. Et bien sûr, quand on intervient, on se fait bousculer. On ne s’en prend jamais directement à nous.» Vous ne le verrez en revanche jamais du côté bernois. Et pour cause: «Il y a quelques années, j’ai fait l’objet de menaces de mort. Ce n’est pas par peur que je me tiens à distance, mais parce que ma présence pourrait être vue comme une provocation.»

Mario Thalmann ne se fait pas d’illusion: les compliments sont rares. «On passe souvent pour les derniers des cons. Mais ce n’est pas propre au sport. C’est valable pour tous ceux qui travaillent dans la sécurité.»

Son hobby à lui
Au fait, qu’est-ce qui le motive à poursuivre cette activité? «Il y a des jours où je me le demande. Mais j’aime cela et je le fais pour le club. L’ambiance qui règne entre nous fait beaucoup.» Certains vont au cinéma, d’autres jouent aux cartes. Son hobby à lui, c’est la sécurité. Dans la vie de tous les jours, Mario Thalmann est technicien en chauffage-ventilation. «Comme cela, quand ça chauffe, je sais ventiler», rigole-t-il.

Vous l’aurez compris: il ne fait pas cela pour l’argent. Pourtant, sa «rémunération» a fait un bond de 33%! La saison passée, il gagnait 15 francs par match. Aujourd’hui, il touche 20 balles.

«Le gros problème, ce sont les défilés»
Depuis le week-end dernier, on ne parle que de ça. L’aspect sportif est passé au second plan. Après les bagarres qui ont eu lieu samedi (La Gruyère de mardi), ce sont les dirigeants et les politiciens qui se chamaillent. Mario Thalmann veille à ne pas jeter de l’huile sur le feu. «Le gros problème, ce sont les défilés. Ils existent depuis 2000 ou 2001. Je ne sais pas qui a commencé. Berne? Fribourg? Lausanne? S’il n’y avait que cela, ça irait. La plupart du temps, c’est grossier, certes, mais il n’y a pas souvent de gros dégâts.» Pour lui, de tels cortèges mettent le feu aux poudres. «Il y a des semeurs de zizanie qui provoquent. Ensuite, c’est l’escalade. Cela excite les gens d’ici. En supprimant ces défilés, on résoudrait une bonne partie du problème. Ce n’est pas de mon ressort et je ne sais pas dans quelle mesure ce serait possible, explique-t-il. Je suis aussi à 100% pour qu’on interdise l’alcool. C’est à l’origine de bien des dérapages.» Il espère évidemment que la rencontre de ce soir se passera sans anicroche. «Sur semaine, en principe, il y a moins de problèmes. Nous recevons des informations qui nous laissent penser que la situation s’est apaisée. Mais on n’est jamais sûr de rien. On repartira donc sur les mêmes bases que lors du match précédent.»

Cescox: qui va réagir quand on parle de "hooliganisme", surtout dans le contexte sécuritaire actuel?

Un sacré enculé ce Thalmann

Pour Rappi, arrivés en cortège, au abords de la patinoire, les St Gallois nous voyant arriver, essaient de défoncer les grillage de la zone fumeur de la patinoire pour nous venir dessus. Conséquence... nous genevois nous faisons gazer par la sécu de Rappi....
Match bien tendu à l'intérieur.
A la sortie, les flics faisaient un cordon juste autour du car, mais cela n'empêchait en aucun cas les gars de Rappi (??) de nous caillasser. Les cailloux arrivaient, mais la police ne bougeait pas. Et c'est en faisant rentrer le reste du groupe dans le car qu'un de nos gars s'est pris une pierre sur l'arrière de la tête. Le retour se fera aussi avec le parebrise avant complètement fissuré.

Ca transpire le masochiste refoulé chez ce cher Mario:

Citation :

Vous l’aurez compris: il ne fait pas cela pour l’argent. Pourtant, sa «rémunération» a fait un bond de 33%! La saison passée, il gagnait 15 francs par match. Aujourd’hui, il touche 20 balles.

Le Major


P.S.: C'est fou ce qu'il nous manque ce garçon

Impatto a écrit:

A la sortie, les flics faisaient un cordon juste autour du car, mais cela n'empêchait en aucun cas les gars de Rappi (??) de nous caillasser. Les cailloux arrivaient, mais la police ne bougeait pas. Et c'est en faisant rentrer le reste du groupe dans le car qu'un de nos gars s'est pris une pierre sur l'arrière de la tête. Le retour se fera aussi avec le parebrise avant complètement fissuré.

Les flics ont du mal à assimiler la bas en tout cas!

Schéma identique pour nous (répété même), des bouteilles qui volent (toujours mieux que des pierres, mais tout de même une fille blessée à la tête) ainsi qu'un caillou lancé quasi à bout portant dans le pare-brise, alors que les flics formaient un cordon a 5m de là.

D'après la compagnie de car (qui doit, parait-il, se coltiner les frais si le coupable n'est pas choppé) les caillasseurs n'ont jamais été appréhendés ...

Drôles de délires dans ce coin de pays ...

Je reviens sur ce forum après de longues années d'absence, ou plutôt de lecture.

Hier soir, à Rapperswil, ça s'est passé bien différemment !!! Les flics ont visiblement compris, assimilé et appliqué leur rôle de la meilleure des façons possible (point de vue d'un gars qui n'a pas forcément envie de se faire caillasser à la sortie).

Nous avons été "entourés", escortés, par respectivement 3 fourgons à l'arrière et 2 à l'avant, pleins de gars équipés, qui n'ont hésité que 5 ou 6 secondes avant d'utiliser les flash-ball lorsque les gars de Rappi (ou d'ailleurs...) ont préparé leur embuscade dans une sympathique ruelle...

Cette fois-ci, rien à redire !

def a écrit:

Je reviens sur ce forum après de longues années d'absence, ou plutôt de lecture.

Hier soir, à Rapperswil, ça s'est passé bien différemment !!! Les flics ont visiblement compris, assimilé et appliqué leur rôle de la meilleure des façons possible (point de vue d'un gars qui n'a pas forcément envie de se faire caillasser à la sortie).

Nous avons été "entourés", escortés, par respectivement 3 fourgons à l'arrière et 2 à l'avant, pleins de gars équipés, qui n'ont hésité que 5 ou 6 secondes avant d'utiliser les flash-ball lorsque les gars de Rappi (ou d'ailleurs...) ont préparé leur embuscade dans une sympathique ruelle...

Cette fois-ci, rien à redire !

les mecs de Rappi ont tentés quelques choses?? c etait organisé?? je ne savais pas que Rappi etaient chaud. beaucoup de genevois présent??

Non, nous étions très peu, une soixantaine environ.
Oui, les gars ont tenté quelque chose.

def a écrit:

Non, nous étions très peu, une soixantaine environ.
Oui, les gars ont tenté quelque chose.

ok merci pour les précisions, y a t il désormais un contentieux avec les fans de Rappi ??

car je vais régulierement en indep au match au Vernet à Geneve et je n ai jamais vu de tension à lasortie des visiteurs, à part une fois face a Berne mais c etait surtout les Bernois et c est rester au satde de la provocation

T'es quand même un ouf d'aller en indep aux matchs à domicile...

Migou a écrit:

T'es quand même un ouf d'aller en indep aux matchs à domicile...

lol quand je disais que je vais en indep c est pour préciser que je ne fais pas partie d un groupe au hockey

Rarement eu et vu d'accrochages sérieux aux Vernets après un match, quelques cas isolés certes mais le dispositif de sécurité cette année est "au top" et l'Hôtel de Police pas loin donc bon

Concernant les St-Gallois, vu l'accueil qu'ils nous ont réservés samedi, on peut dire qu'ils ne nous aiment visiblement pas

Aux vernets c'est purement et simplement pas possible de bouger à moin d'être un nombre très important.

À rappi les gars ont bloqué la route avec un container et une barrière pour stopper le car puis balancer des "rochers" qui ont, heureusement pour nous vu la taille des machins, pas atteint le car (bah oué, fait froid encore...lol)

À oui à noter une charge surpuissante de leur part lors de notre sortie de la patinoire. Ils ont avancé d'environ 1m50 contre 4 flics...

C'est quoi pour des gaillards? Aussi présent en foot ou seulement hockey?

Franchement c'est dur a dire ...

Ayant eu l'occasion de suivre l'évolution (on a des probs régulièrement avec eux depuis 2003-2004) la scène a quand même bien évolué depuis ces années là, mais quant tu mates le secteur à domicile c'est pas non plus extraordinaire au niveau de la composition (également à l'extérieur, sauf mobilisation "spéciale" comme lors de leur dernière venue à Fribourg).

Ca semble assez évident que les gars de toute la ville bougent pour les fins de matchs, à en voir la composition des personnes présentes (notament le même type de personnes qui ont été sujettes à débat ces jours à Fribourg).

Ensuite il y a encore cette nébuleuse Suisse-Orientale. Il y a deux ans, on nous avait annoncé des mecs de Lucerne présent pour en découdre, pas pu vérifier si c'était des LU mais des gars avaient bel et bien fait le déplacement. En septembre 2007, des gars que j'ai pu revoir lors d'une sortie de patinoire à Zoug étaient aussi présents. Jamais vraiment de revendication mais ca semble assez clair que la région vient en soutien, après dur de dire si c'est des gars de Saint-Gall, de Lucerne ou même de Zurich?

D'après les rumeurs, il y AURAIT, et j'utilise bien le conditionnel, des gars du Hardturm Front dans le coup. C'est en tout cas ce que prétend la flicaille saint-galloise.